x x x xx x x x x x 12ème Saison x x x x x x x x x x x x x
voir programmation : Octobre x x Novembre x xDécembre
x x x x Une fin d'année éblouissante !
Décembre 2006
Les 1 & 2x / x8 & 9x / x15 & 16 Décembre 2006
>>> > >> > > >> > >> > > >> > > Martha HIGH & Quai du Blues All Stars + Guests
> >> > >> > > > Martha HIGH
James Brown a découvert Martha HIGH en 1966 alors qu'elle tournait avec « The Jewels ». Depuis, Martha est connue comme la « platin blond soul sister with a great voice »; rappelez-vous cette blonde platine qui donne la réplique au Parrain dans la superbe vidéo "Live in London".
Martha a passé 40 ans sur scène avec James Brown, et c'est un exploit qu'aucun autre musicien des Funky People n'a à son palmarès… tout à fait admirable quand on connaît les méthodes de travail de James Brown ! Aucune « vocaliste » du Godfather peut s'enorgueillir d'avoir posé sa voix sur autant de tubes que Martha High, « Payback », « Bodyheat », « Doin'it to Death », ou encore « On a Summertime », hit enregistré en duo avec James Brown.
Depuis 1998, elle a rejoint le groupe de funk du non moins grand Maceo Parker dont elle est le pilier féminin, tout en démarrant une carrière personnelle. Il y a un an paraissait les trois premiers volumes de la collection « Live at Quai du Blues » dont celui de Martha High, enregistré à l'occasion d'un concert donné au club avec son complice Waldo Weather, évadé comme elle du James Brown show, successeur de Pee Wee Lewis au pupitre de sax ténor.
Novembre 2006
Les 24 & 25 Novembre 2006
>>> > >> > > >> > >> > > >> > > SHANNA + LOLA GULLEY
> >> > >> > > > Shanna
Dès sa majorité, Shanna quitte sa ville natale de Floride pour se produire à New York.
En Europe, elle a assuré la première partie des spectacles de James Brown (1995) et de Matt Bianco (1997). Shanna est une chanteuse puissante, expressive et créative, dont le vibrato éblouissant transcende tous les styles, pourvu que les mots soient imprégnés de soul.
Shanna livrera au Quai du Blues quelques titres originaux de son prochain album en cours d’enregistrement et dont elle est auteur, compositeur et interprète.
Née à New York, Lola Gulley n’a pas cessé de voyager à travers le continent américain avec un père officier dans les Marines. C’est lui, guitariste, qui transmet à Lola son amour fou de la musique. A Mobile, Alabama, elle apprend très jeune le piano et l’orgue, jouant dans les églises locales et, de temps en temps, accompagnant son père leader d’un groupe de soul. Fascinée par la facilité avec laquelle Stevie Wonder passe d’un instrument à l’autre sans pouvoir les voir, Lola s’essaye à la batterie, à la trompette et autre cuivre. Elle n’a de cesse que d’enrichir ses connaissances musicales.
Aujourd’hui installée à Atlanta, Lola Gulley est considérée comme une étoile montante de la scène Blues. Pianiste virtuose, Lola est une chanteuse puissante, expressive et créative, dont la sensualité rappelle celle de Mavis Staple.
Les 10 & 11x / x17 & 18 xNovembre 2006
>>> > >> >> > > LOLA GULLEY + THE HEALERS featuring THOMAS BUCK-NASTY
Née à New York, Lola Gulley n’a pas cessé de voyager à travers le continent américain avec un père officier dans les Marines. C’est lui, guitariste, qui transmet à Lola son amour fou de la musique. A Mobile, Alabama, elle apprend très jeune le piano et l’orgue, jouant dans les églises locales et, de temps en temps, accompagnant son père leader d’un groupe de soul. Fascinée par la facilité avec laquelle Stevie Wonder passe d’un instrument à l’autre sans pouvoir les voir, Lola s’essaye à la batterie, à la trompette et autre cuivre. Elle n’a de cesse que d’enrichir ses connaissances musicales.
Aujourd’hui installée à Atlanta, Lola Gulley est considérée comme une étoile montante de la scène Blues. Pianiste virtuose, Lola est une chanteuse puissante, expressive et créative, dont la sensualité rappelle celle de Mavis Staple.
THE HEALERS >>> > >> > > XXXXXXXXXX>> > >> > >feat. THOMAS BUCK-NASTY
L’énergie incroyable de Thomas Buck-Nasty est celle d’un « preacher ». Pas étonnant : dès l’âge de 6 ans, il se produisait en qualité de soliste à l’église fréquentée par sa famille sur la Côte Ouest.
De son enfance baignée dans le Gospel, Thomas Buck Nasty a gardé cette sincérité qui fait miraculeusement réagir n’importe quel public.
Le leader des Healers qui a récemment croisé son chemin l’a vite compris en assistant à un de ses concerts à New York et lui a proposé de les accompagner pour une tournée en Europe.
The Healers se compose de quatre musiciens virtuoses formés au contact de légendes du blues : Kevin Chisholm à la guitare, Dean Zucchero à la Basse, John Freund à l’orgue Hammond et Deric Perry à la Batterie.
Live Blues from New York City.
http://www.healersnyc.com/ie4/index.htm
Les 3 & 4 Novembre 2006
>>> > > XXXXX XX> >> > >> > > LOLA GULLEY + WES MACKEY
> >> > >> >Lola GULLEY
Née à New York, Lola Gulley n’a pas cessé de voyager à travers le continent américain avec un père officier dans les Marines. C’est lui, guitariste, qui transmet à Lola son amour fou de la musique. A Mobile, Alabama, elle apprend très jeune le piano et l’orgue, jouant dans les églises locales et, de temps en temps, accompagnant son père leader d’un groupe de soul. Fascinée par la facilité avec laquelle Stevie Wonder passe d’un instrument à l’autre sans pouvoir les voir, Lola s’essaye à la batterie, à la trompette et autre cuivre. Elle n’a de cesse que d’enrichir ses connaissances musicales.
Aujourd’hui installée à Atlanta, Lola Gulley est considérée comme une étoile montante de la scène Blues. Pianiste virtuose, Lola est une chanteuse puissante, expressive et créative, dont la sensualité rappelle celle de Mavis Staple.
> >> > >> >Wes MACKEY
Originaire de Caroline du Sud, U.S.A. Wes Mackey a accompagné de sa guitare les plus grands tels Muddy Waters, John Lee Hooker ou Jimmy Reed. Cet élégant sexagénaire a eu le privilège d'écouter les derniers bluesman nomades venus de ce triangle d'or originel qu'était encore le « Delta » dans les années 1950-60, avant que le « revival » ne brouille un peu les cartes. Il a d'ailleurs comme eux appris à jouer « à l'africaine », sur une guitare bricolée qui n'avait que trois cordes. Comme eux aussi il a débuté dans les « Honky Tonks », ces bars interlopes où la musique devait être assez captivante pour se frayer un chemin jusqu'aux oreilles entre des discussions pas toujours très calmes. Puis sa carrière s'est déroulé tranquillement dans l'ombre des grands Muddy Waters, Stevie Wonder, dont il est le plus proche. Il a fini par s'installer au Canada, où il est célébré comme le plus authentique ambassadeur du blues de sud. Sa voix feutrée, étrangement juvénile, renouvelle des chansons aussi célèbres que « Rock Me Baby », avec ce sens familier de la communication qui reste l'apanage des grands bluesmen.
Octobre 2006
Les 20 & 21 x/x 27 & 28 Octobre 2006:
>>> > > XXXXX XX> >> > > LIL' JIMMY REED + JANICE HARRINGTON
> >> > >> LIL'JIMMY REED
Léon Atkins surnommé Lil' Jimmy Reed est né en 1930 à Hardwood en Louisiane. Enfant il séjourne à Baton Rouge puis ensuite sur Entreprise dans l'Alabama. Il a sa première guitare et son premier harmonica à l'âge de 16 ans. Le lundi son père lui achète la guitare, le Samedi il en jouait....
Il a fait les premières parties de "the Bobby Blue Band", d'"Ike Turner", de "Lynn White" et de "Little Milton"... En 1995, il reçoit l"Alabama Blues Treasure Award". Il joue régulièrement à Baton Rouge au "Tabby's Blue Box". En Louisiane, il est devenu une légende
XXJanice >> XXXXXXX X X X X X X X X X X X X X X X > > XXXXX XX> > HARRINGTON
Habituée des grands festivals européens (Copenhague, Nancy, Paris, Stockholm, Varsovie,...) Energie, swing et convivialité au programme avec cette autre « prêtresse » du blues et du gospel. Mais que serait une chanteuse de jazz sans accompagnateurs compétents ? Derrière elle, la crème des musiciens tombés dedans quand ils étaient petits. Cette tonique chanteuse américaine se produira au Quai du Blues et c’est un événement !
Les 6 & 7 x/x13 & 14 Octobre 2006:
X X X X X > > XXXXX XX> > >ALVON JOHNSON + HOLLY THEE MAXWELL
Best Blues Guitar Player 2005 Awards
ALVON JOHNSON
Alvon Johnson est le grand rescapé des Coasters, ce groupe fétiche qui depuis 1956 entretient la flamme du « doo wop », malgré les assassinats mystérieux de plusieurs de ses membres. Alvon a eu la prudence de le quitter à temps pour mener sa barque vers des rivages plus sûrs. Formidable chanteur comme tous les Coasters, c'est aussi un guitariste virtuose tour à tour fluide et torturé, et un fabuleux showman dans la grande tradition de T. Bone Walker.
"(…) Holle'Thee Maxwell est l’une des dernières reines du soul blues, héritière des plus grandes hurleuses funk, les Bessie Smith, Dinah Washington, Aretha Franklin (…) voire même des hurleurs noirs (Howlin’Wolf, Screamin’Jay Hawkins). Sacrée généalogie, intimidante, historique, que l’on croyait définitivement interrompue.”
Libération, Louis Skorecki, Mars 99
Des clubs de Blues, il y en a des centaines aux U.S.A., quelques-uns en Europe, et la plupart se ressemblent comme deux gouttes de bourbon. Mais le Quai du Blues a quelque chose d’incongru, d’irréel: à peine entré, on se croirait à Chicago au temps de la Prohibition, dans un de ces «speakeasies» à la fois clandestins et confortables où s’inventèrent le Jazz et le Blues urbain..
Holle'Thee Maxwell s’y est sentie tout de suite chez elle, puisqu’elle a grandi à Chicago - bien après le règne d’Al Capone! - et que sa carrière aura été aussi singulière que l’est le Quai du Blues. Sa superbe voix de soprano coloratura l’avait amenée à apprendre d’abord l’Opéra. Adolescente, elle chantait le répertoire lyrique allemand, français et italien.
Sa voie semblait toute tracée: elle avait tout pour se faire un nom dans la dynastie des grandes cantatrices afro-américaines, de Marian Anderson à Jessye Norman et Barbara Hendricks...
Mais à dix-sept ans, naturellement, elle préfère sortir dans les clubs: 1962, c’est l’âge d’or de la Soul, et elle change de cap. Elle se retrouve dans un de ces innombrables groupes «doowop» aux noms désopilants: «The Tourjourettes». Trois ans plus tard, elle enregistre son premier disque. Le célèbre journal «Chicago Defender» lui consacre un article polémique: sa maman y déplore que la belle Holly s’égare dans le Jazz et le Blues !
Chicago a toujours été divisé par la lutte des classes. Holly manque de devenir schizophrène: dans les clubs interlopes du South Side, elle végète comme chanteuse de Blues; dans les bars chics du North Side, elle est vite applaudie comme une excellente «Jazz singer», écartelée entre deux modèles un peu contradictoires: Ella Fitzgerald et Billie Holiday. Elle ne les reniera jamais: à la fin des années 70, elle sera la chanteuse attitrée de Jimmy Smith. Mais entre temps, elle s’est prise de passion pour Gladys Knight, et surtout pour Aretha Franklin, dont elle apprend les chansons par cœur...
Le cœur, elle n’en manque pas, la voix non plus. Mais l’âme? En 1977 elle entre dans le groupe d’Ike Turner, un an après la rupture avec Tina. Elle devient son amie de cœur, en tout bien tout honneur. Pour le remercier de lui avoir dit brutalement « La soul, c’est tout ce qui te manque», elle aura ce commentaire magnifique:«Ike piétina sans merci les lunettes roses à travers lesquelles j’avais toujours vu le monde».
Aujourd’hui, Holle'Thee Maxwell préfère porter des lunettes noires. Son timbre reste très juvénile, seul son phrasé s’est brisé pour laisser transparaître ces «bleus de l’âme» sans lesquels elle ne serait qu’une chanteuse surdouée. Sa diction est devenue plus dramatique, elle descend souvent dans le grave, sans jamais tomber dans le mélo, car il y a toujours une petite lueur éblouissante au bout du tunnel de ses longues et subtiles improvisations. Car Holly a gardé de son expérience du jazz cette liberté souveraine qu’est l’art suprême du scat ( chant improvisé en onomatopées ) et une méfiance instinctive à l’égard des clichés trop faciles du Blues au kilomètre... De la musique, de l’émotion, rien d’autre!
Loin des paillettes du fric et du rock, Holle'Thee Maxwell a toujours fait le choix du Blues et du Jazz, le choix de l’âme.
Avril 2006
Lil'Joe BURTON
les 21-22 & 28-29 Avril
Véritable
légende vivante, le tromboniste Joe Burton est né à Chicago
où il a commencé à jouer avec B.B. King à l’âge
de 19 ans. Lil’Joe accompagnera BB pendant 7 ans. En même temps,
il se produit occasionnellement avec Fats Domino, Bobby Womack et Joe Tex.
En 1991, il rejoint Junior Wells dont il restera le band leader jusqu’à
sa mort en 96.
Un très grand musicien le « petit Joe » dont le jeu de
scène spectaculaire est celui d’un entertainer accompli…
la grande classe!
Jai Jai BURTON
les 21-22 & 28-29 Avril
Qui n’est
autre que la sœur de Joe… et nous sommes aussi émus qu'eux
à l'idée de les réunir sur la même scène,
ce qui, à les entendre, est tout à fait exceptionnel !
En Extrême-Orient, terre de virtuosité vocale depuis des millénaires,
on ne plaisante pas avec le chant. Si Jai Jai y a remporté un triomphe,
de Manille à Hong-Kong en passant par Djakarta, c’est que l’ampleur
de sa voix (du contralto au soprano) est aussi éclatante que son sourire.
Cette Chicagoane de souche, qui a fait ses débuts au sein des «
Four Queens », a été vite remarquée par les géants
du blues, de la soul et du jazz : elle a chanté avec Bobby Bland, Little
Milton et Percy Mayfield, mais aussi Mary Wells, Martha Reeves, et le génial
saxophoniste Roland Kirk. Son répertoire est des plus éclectique
et son premier album, enregistré à Los Angeles, tient toutes
les promesses de ses succès en scène.
Velvet MC NAIR
les 7-8 & 14-15 Avril
Velvet
Mc Nair est aujourd’hui une des chanteuses les plus demandées
sur la scène Blues de Chicago dont elle est originaire. Elle a accepté
de suivre Maurice John Vaughn à Paris pour ses concerts au Quai du
Blues.
C’est avec beaucoup d’impatience que nous attendons cette Blues
lady à la voix qualifiée par des critiques (dont le très
connaisseur magazine REAL BLUES) «d’obsédante» et
« d’envoûtante »…
Maurice John
VAUGHN
les 7-8 & 14-15 Avril
Ce Bluesman
qui tâte de la voix, de la guitare et du saxophone a grandi dans les
rues de Chicago, sur les traces de Muddy Waters et Howlin’Wolf. En 1984,
il grave son premier disque « Generic blues » pour le label Alligator
et s’impose alors comme le chef de file de la nouvelle génération
de l’époque avec un blues moderne très personnel où
les rythmes funky se taillent la part du lion. Il est vite sollicité
par les Maîtres du Chicago Blues comme Luther Allison, Son Seals et
A.C. Reed. En 93, suivra un second album « In the Shadow of the City
» toujours pour le compte du crocodile. Très remarqué,
cet album dévoile ses talents de compositeur hors du commun, témoigne
de l’acuité de son regard sur le monde et de son aptitude à
actualiser les thèmes récurrents du Blues.
En 2001, Maurice enregistre un superbe album de Chicago Blues « Dangerous
Road ». Sur ce dernier opus, Maurice John Vaughn fait étalage
de ses qualités de chanteur, voix puissante, déclamatoire, et
guitaristique, jeu précis, vif, limpide, sans parler des riffs de saxophone
appuyés. Maurice John Vaughn s’est parfaitement écarté
de l’influence de ses maîtres. Son répertoire riche et
varié tient autant du blues racé et d’un rhythm’n’
Blues cuivré que de la Soul Music.
Mars 2006
Best Blues Guitar Player 2005 Awards
les 17-18, 24-25,
31 Mars / 1er Avril
Shanna
les 17-18, 24-25, 31 Mars / 1er Avril
Dès
sa majorité, Shanna quitte sa ville natale de Floride pour se produire
à New York.
En Europe, elle a assuré la première partie des spectacles de
James Brown (1995) et de Matt Bianco (1997). Shanna est une chanteuse puissante,
expressive et créative, dont le vibrato éblouissant transcende
tous les styles, pourvu que les mots soient imprégnés de soul.
Shanna livrera au Quai du Blues quelques titres originaux de son prochain
album en cours d’enregistrement et dont elle est auteur, compositeur
et interprète.
Louisiana
RED
Evènement les 10 & 11 Mars 2006
Né
dans l’état d’Alabama, Louisiana Red n’a que 9 ans
quand son père est assassiné par le Ku-Klux-Klan.
C’est sa grand-mère qui l’élève et qui lui
offre sa première guitare. Fasciné par Muddy Waters, il passe
des journées entières à étudier son répertoire.
Il finit un jour par téléphoner à Phill Chess, dont le
célèbre label « Chess records » n’est autre
que celui de Muddy Waters, pour lui jouer au bout du fil le titre de Muddy
« Rollin’ and Tumblin’ ». Invité sur le champs
à se rendre à Chicago par Phil Chess, ce séjour bouleversera
sa vie. S’attendant à être logé dans un petit hôtel
dans le South Side, il se voit hébergé chez Muddy Watters en
personne qui le prend sous son aile.
Louisiana Red a fait du chemin depuis… et il y a bien longtemps qu’il
a trouvé sa propre sonorité, sa propre forme d’expression
avec plus de 20 albums à son actif dont l’excellent « Live
in Montreux » enregistré en 1975 et récemment réédité
(Labor records).
« The Alabama-born guitarist and singer is in full command of his considerable
powers here, and the vast Montreux Festival audience is totally captivated
- evidenced by the enthusiastic applause and attentive silence during Red's
performance (…) A deeply vital acoustic blues experience. » Blues
Access magazine
"Now that Louisiana Red is finally getting the recognition he deserves
- last year saw several album releases for the 64-year-old contemporary bluesman,
as well as multiple Handy nominations - a plethora of unreleased Red material
is sure to begin hitting shelves. This one's a fine 1975 live set before an
enthusiastic crowd in Montreux, Switzerland, at a time when he was ignored
in the States. "My Heart's a Loser" is intense, "Date With
Barbara" is passionate and "Sweet Blood Call" is downright
scary."
Kenneth Bays - Blues Revue
"This CD is not only one of the best blues CDs I have ever heard, but
also one of the best live CDs. The sound quality is perfect, and the performance,
remarkable. Louisiana Red performs solo with his guitar. The audience is really
into it. "Bring it On Home to Me", and "First Degree",
blew me away. How this man is not better known and appreciated is a mystery
to me. This is one of my top ten favorite blues CDs, and would make it to
the "desert island". This CD should be in every blues collection.
Thank you to Labor Records for releasing it!"
Nominé à plusieurs reprises aux WC Handy Awards, il a été
élu en 1983 « Best Traditional Blues Artist ».
Cette légende du Blues se produira deux soirs au Quai du Blues et c’est un événement !
Février 2006
THE
HEALERS featuring Thomas BUCK-NASTY
24-25
Février & 3-4 Mars
2006
L’énergie
incroyable de Thomas Buck-Nasty est celle d’un « preacher ».
Pas étonnant : dès l’âge de 6 ans, il se produisait
en qualité de soliste à l’église fréquentée
par sa famille sur la Côte Ouest.
De son enfance baignée dans le Gospel, Thomas Buck Nasty a gardé
cette sincérité qui fait miraculeusement réagir n’importe
quel public.
Le leader des Healers qui a récemment croisé son chemin l’a
vite compris en assistant à un de ses concerts à New York et
lui a proposé de les accompagner pour une tournée en Europe.
The Healers se compose de quatre musiciens virtuoses formés au contact
de légendes du blues : Kevin Chisholm à la guitare, Dean Zucchero
à la Basse, John Freund à l’orgue Hammond et Deric Perry
à la Batterie.
Live Blues from New York City.
http://www.healersnyc.com/ie4/index.htm
Holle'Thee
MAXWELL
27-28 Janvier 3-4,10-11 & 17-18 Février 2006
"(…)
Holle'Thee Maxwell est l’une des dernières reines du soul blues,
héritière des plus grandes hurleuses funk, les Bessie Smith,
Dinah Washington, Aretha Franklin (…) voire même des hurleurs
noirs (Howlin’Wolf, Screamin’Jay Hawkins). Sacrée généalogie,
intimidante, historique, que l’on croyait définitivement interrompue.”
Libération, Louis Skorecki, Mars 99
Des clubs de Blues, il y en a des centaines aux U.S.A., quelques-uns en Europe,
et la plupart se ressemblent comme deux gouttes de bourbon. Mais le Quai du
Blues a quelque chose d’incongru, d’irréel: à peine
entré, on se croirait à Chicago au temps de la Prohibition,
dans un de ces «speakeasies» à la fois clandestins et confortables
où s’inventèrent le Jazz et le Blues urbain..
Holle'Thee Maxwell s’y est sentie tout de suite chez elle, puisqu’elle
a grandi à Chicago - bien après le règne d’Al Capone!
- et que sa carrière aura été aussi singulière
que l’est le Quai du Blues. Sa superbe voix de soprano coloratura l’avait
amenée à apprendre d’abord l’Opéra. Adolescente,
elle chantait le répertoire lyrique allemand, français et italien.
Sa voie semblait toute tracée: elle avait tout pour se faire un nom
dans la dynastie des grandes cantatrices afro-américaines, de Marian
Anderson à Jessye Norman et Barbara Hendricks...
Mais à dix-sept ans, naturellement, elle préfère sortir
dans les clubs: 1962, c’est l’âge d’or de la Soul,
et elle change de cap. Elle se retrouve dans un de ces innombrables groupes
«doowop» aux noms désopilants: «The Tourjourettes».
Trois ans plus tard, elle enregistre son premier disque. Le célèbre
journal «Chicago Defender» lui consacre un article polémique:
sa maman y déplore que la belle Holly s’égare dans le
Jazz et le Blues !
Chicago a toujours été divisé par la lutte des classes.
Holly manque de devenir schizophrène: dans les clubs interlopes du
South Side, elle végète comme chanteuse de Blues; dans les bars
chics du North Side, elle est vite applaudie comme une excellente «Jazz
singer», écartelée entre deux modèles un peu contradictoires:
Ella Fitzgerald et Billie Holiday. Elle ne les reniera jamais: à la
fin des années 70, elle sera la chanteuse attitrée de Jimmy
Smith. Mais entre temps, elle s’est prise de passion pour Gladys Knight,
et surtout pour Aretha Franklin, dont elle apprend les chansons par cœur...
Le cœur, elle n’en manque pas, la voix non plus. Mais l’âme?
En 1977 elle entre dans le groupe d’Ike Turner, un an après la
rupture avec Tina. Elle devient son amie de cœur, en tout bien tout honneur.
Pour le remercier de lui avoir dit brutalement « La soul, c’est
tout ce qui te manque», elle aura ce commentaire magnifique:«Ike
piétina sans merci les lunettes roses à travers lesquelles j’avais
toujours vu le monde».
Aujourd’hui, Holle'Thee Maxwell préfère porter des lunettes
noires. Son timbre reste très juvénile, seul son phrasé
s’est brisé pour laisser transparaître ces «bleus
de l’âme» sans lesquels elle ne serait qu’une chanteuse
surdouée. Sa diction est devenue plus dramatique, elle descend souvent
dans le grave, sans jamais tomber dans le mélo, car il y a toujours
une petite lueur éblouissante au bout du tunnel de ses longues et subtiles
improvisations. Car Holly a gardé de son expérience du jazz
cette liberté souveraine qu’est l’art suprême du
scat ( chant improvisé en onomatopées ) et une méfiance
instinctive à l’égard des clichés trop faciles
du Blues au kilomètre... De la musique, de l’émotion,
rien d’autre!
Loin des paillettes du fric et du rock, Holle'Thee Maxwell a toujours fait
le choix du Blues et du Jazz, le choix de l’âme.
Lil'Al
Allen THOMAS
27-28
Janvier + 3-4,10-11 & 17-18 Février 2006
Coup de
foudre assuré à l’écoute du leader des «
Cincinnati All Stars », dont la superbe voix de ténor se reflète
dans le miroir d’une guitare vigoureuse.
Le sobriquet d’Allen, « Little Al », lui va comme un gant
: il mesure plus de deux mètres ! .
Janvier 2006
Avec la sculpturale «Blues girl» de San Francisco, devenue au fil des ans la muse du Quai du Blues, l’année 2006 débutera en beauté…
Napata
MERO
13-14 & 21 Janvier 2006
Napata
impressionne autant par son physique et sa grâce que par sa voix. A
l’aise dans tous les registres, du blues à la soul, sa ferveur
est de celle que l’on trouve chez les pratiquants du Gospel, danse et
transe à l’appui.
Programmée au Festival de Blues de Salaise, le Dauphiné Libéré
titrait : «la belle noire américaine a volé la vedette
au vétéran Jimmy Johnson» et le magazine Soul Bag la qualifiait
de «révélation», de «meilleure surprise de
tout le festival réuni» et plus loin «Quelle voix, quelle
présence, chapeau bas ! Elle a littéralement mis K.O. le public
(…) ».
Novembre & Décembre 2005
Martha
HIGH
les 9-10 et 16-17 Décembre
James Brown
a découvert Martha HIGH en 1966 alors qu’elle tournait avec « The Jewels ».
Depuis, Martha est connue comme la « platin blond soul sister with a great
voice » ; rappelez-vous cette blonde platine qui donne la réplique au Parrain
dans la superbe vidéo "Live in London".
Martha a passé 40 ans sur scène avec James Brown, et c’est un exploit qu’aucun
autre musicien des Funky People n’a à son palmarès… tout à fait admirable
quand on connaît les méthodes de travail de James Brown ! Aucune « vocaliste
» du Godfather peut s’enorgueillir d’avoir posé sa voix sur autant de tubes
que Martha High, « Payback », « Bodyheat », « Doin’it to Death », ou encore
« On a Summertime », hit enregistré en duo avec James Brown.
Depuis 1998, elle a rejoint le groupe de funk du non moins grand Maceo Parker
dont elle est le pilier féminin, tout en démarrant une carrière personnelle.
Il y a un an paraissait les trois premiers volumes de la collection « Live
at Quai du Blues » dont celui de Martha High, enregistré à l’occasion d’un
concert donné au club avec son complice Waldo Weather, évadé comme elle du
James Brown show, successeur de Pee Wee Lewis au pupitre de sax ténor.
Lola
Gulley
les 25-26 Novembre & 2-3 Décembre
Née
à New York, Lola Gulley n’a pas cessé de voyager à
travers le continent américain avec un père officier dans les
Marines. C’est lui, guitariste, qui transmet à Lola son amour
fou de la musique. A Mobile, Alabama, elle apprend très jeune le piano
et l’orgue, jouant dans les églises locales et, de temps en temps,
accompagnant son père leader d’un groupe de soul. Fascinée
par la facilité avec laquelle Stevie Wonder passe d’un instrument
à l’autre sans pouvoir les voir, Lola s’essaye à
la batterie, à la trompette et autre cuivre. Elle n’a de cesse
que d’enrichir ses connaissances musicales.
Aujourd’hui installée à Atlanta, Lola Gulley est considérée
comme une étoile montante de la scène Blues. Pianiste virtuose,
Lola est une chanteuse puissante, expressive et créative, dont la sensualité
rappelle celle de Mavis Staple.
Lil’Joe BURTON
les
25-26 Novembre & 2-3 Décembre
MUDCAT
les
25-26 Novembre & 2-3 Décembre
Photos : Xavier CAUPENNE
Mudcat
est un groupe de fous furieux monté à Atlanta par Danny Dudeck,
guitariste, pianiste et chanteur né à St. Paul, Minnesota. Difficile
de définir le registre de ce trio, tant leur répertoire original
fait le tour des musiques populaires américaines, mêlant allègrement
blues, gospel, boogie, country et rock’n’roll. Dans sa chronique
du dernier CD de Mudcat (Soul Bag- Mars 2004), Eric Doidy constate que le
groupe « connaît trop bien les bluesmen pour les singer, son intelligence
musicale est de jouer une musique qui n’appartient qu’à
lui ».
Danny Dudeck, splendide guitariste formé au contact de légendes
du blues (Neal Pattman, Taj Mahal, …), entouré de David Rolland
à la guitare basse et de Marty Vickers aux drums, livre des concerts
torrides avec une générosité clairement affichée.
Ils ont récemment croisé en chemin le tromboniste Lil Joe Burton
qui les accompagnera pour cette nouvelle tournée en Europe.
The Carter Brothers
18-19 Novembre
…
légendaires, ils seront de retour de la 11è édition du
prestigieux Lucerne Blues Festival.
Originaires de Garland, Alabama, les trois frères Carter, Roman, Albert
et Jerry ont grandi en Californie après que leurs parents ai migré
sur la Côte Ouest. Roman au chant et à la basse, Albert à
la guitare et Jerry à l’orgue forment le groupe au sortir de
l’adolescence. C’est le succès immédiat. Ils commencent
à enregistrer en 1964 sur le label du producteur/compositeur Duke Coleman.
Stan Lewis les repère et les prend sous son aile. Vont suivre de nombreux
hits sous le label Jewel records et notamment le titre devenu un standard
« Southern Country Boy ».
The Carter Brothers ne se sépareront jamais. « I never did anything
solo without none of my brothers, as long as we guys played music.”
raconte Roman.
Après la disparition tragique de Jerry, Roman et Al n’ont pas
cessé de se produire sur les scènes des plus grands festivals
de Jazz et de blues du monde. Le magazine américain Real Blues (celui
qui a décerné au Quai du Blues le titre de meilleur club de
blues hors USA) a élu en 1999 Romane Carter « as Best male Blues
Vocalist ».
The Carter Brothers ne se produiront que deux soirs en France après
leur concert au Festival de Lucerne, ce sera au Quai du Blues les 18 et 19
Novembre.
Chantz
4-5, 11-12 Novembre
Dès
l'âge de 7 ans Chantz Powell joue de la trompette et imite Louis Armstrong
dans les rues de Nouvelle-Orléans en rêvant de devenir un grand
musicien de Jazz. Avec sa mère, il a parcouru la planète à
la poursuite de son rêve.
Il y a un an, sortait le premier CD chez Universal Classics & Jazz de
Chantz Powell alors âgé de 17 ans et désigné «
révélation dans le monde du jazz »...
« L’enfant Jazz » revient le temps d’un week-end sur
les lieux de ses premiers succès parisiens, et c’est un très
beau cadeau qu’il nous fait, nous ses fans des premiers jours...
www.chantz.com,
article Liberation,,article
Nouvel Observateur
Octobre 2005
Musical Tribute after Hurricane Katrina
En réaction à l’ouragan Katrina, le Quai
du Blues choisit d’ouvrir sa scène aux talentueux sinistrés
:
Kipori
Woods de la Nouvelle-Orléans,
Vasti Jackson de Hattiesburg – Mississippi,
Shanna de Floride et Donna Angelle de Cypress Island - Louisiane.
Vasti
Jackson
les 7-8,14-15,21-22 Octobre
A
la fois guitariste, auteur-compositeur et producteur, Vasti Jackson, véritable
boulimique de travail, pourrait bien être le musicien le plus sollicité
du Mississippi. La description détaillée de sa carrière
mériterait bien plus que ces quelques lignes. En voici quelques temps
forts :
- Repéré dès l’âge de 18 ans par le label
Malaco, cette collaboration lui permettra d’enregistrer, de se produire
sur scène, de produire et de composer pour le « gratin »
du Blues : Johnnie Taylor, Bobby Bland, Michael Burks, Denise La Salle, Little
Milton, Bobby Rush (dont Vasti Jackson est le co-producteur, arrangeur, guitariste,
bassiste et organiste de l’album « Hoochie Man », élu
en 2001 meilleur album de Blues aux Grammy Awards et aussi par l’Académie
du Jazz en France), etc…
- On retrouve Vasti Jackson sur l’album « Blues Summit »
de B.B. King (dont il a souvent ouvert les shows) aussi élu aux Grammy
Awards.
- Il a collaboré avec la grande Katie Webster pendant 10 ans, tournant
avec elle partout dans le monde, produisant ses albums et composant pour «
The Swamp Boogie Queen of Two-fisted Blues Piano ».
- Dans le 2è volet du film de Martin Scorcese dédié au
Blues, il interprète 2 compositions personnelles : « Train Rollin’Blues
» et « Juke Joint Jump ».
… 2 albums avec la légende du Zydeco, C.J. Chenier, 1 autre avec
la Diva du Jazz Cassandra Wilson (le plus vendu « Belly On The Sun »),
… Vasti Jackson, vous l’aurez compris est une pointure, dont le
dernier album « No Borders To The Blues », encensé par
la presse Outre-Atlantique, témoigne de toutes ses expériences
« I have chosen to lay myself bare with these 16 songs. » Bruce
Iglauer, président d’Alligator Records dit de lui : « Vasti
is one of the most talented and creative Blues men of the younger generation.
He’s a masterful guitarist with a deep knowledge of Blues roots and
a terrific live showman. »
Vasti Jackson abandonnera son Mississippi natal pour se produire 4 soirs au
Quai du Blues, 4 soirs exceptionnels… www.vastijackson.com
Kipori "Baby
Wolf" Woods
les 7-8, 14-15, 21-22 & 28-29 Octobre
Où
avons-nous déjà entendu cette voix éblouie, illuminée?
Où avons-nous senti vibrer les cordes d'une guitare électrique
comme si elles étaient faites de nos tripes? C'était il y a
plus de 30 ans, quand Jimi Hendrix chantait et jouait le blues, comme un salut
fraternel adressé aux enfants qu'il n'eut pas le temps d'avoir. Et
pourtant, les voilà! ... parmi des milliers de besogneux imitateurs,
une poignée de vrais disciples, comme ce jeune néo-orléanais,
élève du pianiste Ellis Marsalis. Encore un «gospel child»,
ex-membre des Zion Harmonizers, l'un des groupes les plus émouvants
et vivants dans la tradition du Sud. En même temps, rien de plus moderne
que ce déluge de notes enflammées qui semble surgir du «Band
of Gypsies» ... Blues fans, jazzmen, rockers hendrixiens ou folkeux
déçus, amoureux du plus beau couple musical qui soit (guitare
+ voix), annulez tous vos rendez-vous pour venir écouter avec quelle
admirable sincérité un petit gars de la Nouvelle-Orléans
peut encore chanter «The Day I Started Playing The Blues».
Shanna
les 7-8, 14-15, 21-22 Octobre
Donna Angelle
les 21-22 & 28-29 Octobre et 4-5 & 11-12 Novembre
Multi-instrumentiste,
excellente chanteuse, Donna Angelle a profité de la popularité
de la musique zydeco au début des années 90 pour s'imposer au
sein du crawfish circuit dans un milieu très largement dominé
par les hommes.
Donna est née le 10 octobre 1951 à Cypress Island en Louisiane.
Durant sa scolarité à la Carver High School de Breaux Bridge
elle développe son don pour la musique, écoute à la radio
Gladys Knight et Curtis Mayfield, et apprend à jouer du violon de la
clarinette et de la flûte.. Après la fin de ses études
en 1972 elle entame une carrière de musicienne professionnelle comme
claviériste et joue pendant un an avec le chanteur Bobby Price. Elle
fait partie de nombreux groupes de soul et de funk ( Super Soul Exchange,
Cosmic Sky… ) avant de diriger sa propre formation, Chapter IV, cette
fois-ci en tant que bassiste.
Victime d’un accident de voiture qui l’écarte de la scène
pendant une dizaine d’années, Donna s’entoure de musiciens
tendance Zydeco pour reformer un groupe en 1994. Avec ce groupe, Donna participe
au rapprochement entre le Zydeco, cette musique « française »
de Louisiane qui lui est chère, et la soul. Mike Lachney, producteur
de quelques fameux musiciens de Zydeco, comme John Delafosse, Rosie Ledet
ou Pee Wee, séduit par le son de Donna, lui propose d’intégrer
son label « Bad Weather Productions ». En Mai 95, son premier
album paraît, intitulé « Zydeco Soul ». Donna s’y
révèle aussi à l’aise dans le vieux répertoire
cajun que dans un irrésistible Funky Zydeco.
Nominée en 1998 pour le « Clifton Chenier Zydeco Awards »
qui récompense l’artiste Zydeco de l’année, Donna
est depuis considérée comme une artiste majeure de la scène
zydeco contemporaine. Sur son dernier album Down The Bayou (label Maison de
Soul), on l'entend pour la première fois jouer de l'accordéon
et chanter, de sa très belle voix qui rappelle celle de Barbara Lynn,
dans un créole parfaitement maîtrisé.
Donna Angelle se produira au Quai du Blues avec son amie Michelle Ann CITIZEN
qui l’accompagnera au Washboard ; instrument primitif, le Washboard
ressemble à une petite planche à laver sur laquelle on obtient
des effets de percussion grâce à des dés de métal
passés aux doigts.
Avril
2005
Lola Gulley
les 22-23 & 29-30 Avril
Lil’Joe BURTON
les 22-23 & 29-30 Avril
MUDCAT
les 22-23 & 29-30 Avril
The Funky Divas
Marthas
HIGH et Marva WHITNEY
La réunion de deux grandes dames, deux des dernières légendes féminines des
Funky People de James Brown
Martha HIGH
les 1-2-8-9-15-16 Avril
Mars 2005
les 18-19
& 25-26 Mars
Deux week-ends durant lesquels le Quai du
Blues célèbrera son 10è Anniversaire
avec, entre autres Maîtres de Cérémonie, Napata MERO
et Alvon JOHNSON.
On vous en dira bientôt un peu plus…
> > >
Napata
MERO
> > >
Alvon
JOHNSON
les 4-5 &
11-12 Mars en
concert
> > >
Vanda
G
Toujours très attendue...
Une voix sublime et un show habité. Nous nous préparons
à tomber une fois de plus sous le charme de cette éblouissante
artiste new-yorkaise, récompensée en 1998 du Duke Ellington
Award « for her musical genius ».
> > >
Les
GETREX
Les Getrex porte en lui l’héritage
de la ville où il est né : La Nouvelle-Orléans.
Considée comme le berceau du Jazz, la « Crescent
City » (la cité en croissant) a aussi été
un des centres les plus créatifs du Blues et Fats Domino
(avec lequel Les a tourné pendant 8 ans), Joe Turner, Little
Richard, Dr John, etc, ont fait les beaux jours de cette prolifique
scène du blues.
Une belle découverte ce Les Getrex : une de ces voix impossibles
- acide, éructante, étranglée, haletante,
haute-perchée - une vraie voix de musicien qui a le blues
au bord des lèvres et tout ce qui va avec. Ce virtuose
de la guitare nous promet de grands moments de blues imbibés
de tradition.
Février
2005
les 18-19
& 25-26 Février en
concert
> > >
Heaven
DAVIS
> > >
Vasti
JACKSON
les 4-5 &
11-12 Février en
concert
> > >
Holly
MAXWELL
> > >
Lil'Daddy
Janvier 2005
les 21-22 &
28-29 Janvier en
concert
> > >
Mz
Dee
les 7-8 & 15 Janvier
en concert
> > >
Linda
Wiggins et the Sax Summit (avec B. Brown
et B. Rangell)
Décembre
2004
les 10-11 &
17-18 Décembre en
concert
> > > Martha HIGH
> Avec
son dernier album :
Martha
High, Live at Quai du Blues
> > >
Breno
BROWN
> > > Johnny MARS
Novembre 2004
les 12-13, 19-20 & 26-27
Novembre en concert
> > >Chick WILLIS
les 5-6, 12-13 & 19-20
Novembre en concert
> > >INDEYA
Octobre
2004
les 29-30 Octobre
en concert
> > >INDEYA
les 22-23 Octobre
en concert
> > >Sharrie WILLIAMS & The Wiseguys
les 15-16 Octobre
en concert
> > >Sylvia HOWARD
les 15-16 Octobre en concert
Trumpet
Summit
Dans
la grande tradition des batailles d'orchestres et des rencontres entre Géants
de la Trompette qui se pratiquent encore chaque année à New
Orleans, vous assisterez à la confrontation de Boney Fields, déjà
vieux briscard de la trompette, face à Chantz Powell, jeune prodige
de New Orleans.
> > >Boney
FIELDS
> > >CHANTZ
les 1-2 & 8-9 Octobre
en concert
> > >Napata
MERO
> > >Breno BROWN
FERMETURE ESTIVALE (sauf
soirées privées)
Du 1er Mai au 30 Septembre
Avril 2004
les 16-17 & 23-24 Avril
en concert
> > >Kipori
" Baby Wolf " WOODS
> > >Johnny
MARS
> >
>Sylvia
HOWARD
Mars/Avril 2004
les 26-27 Mars &
2-3-9-10 Avril en
concert
> > >Alvon
JOHNSON
> > >Vanda G
les 26-27 Mars &
2-3 Avril en
concert
> > >Bobby RANGELL
Mars 2004
les 12-13 & 19-20
Mars en concert
> > >Vanda
G
> > >Tony COLEMAN
> > >U.P.
WILSON
> > >Boney
FIELDS & The Bone's Project
les 5-6 Mars en
concert
> > >
Maurice
JOHN VAUGHN
> > > Velvet Mc NAIR
> > >
B.J.
EMERY
Février 2004
les 27-28 Février en concert
les 6-7-13-14-20-21 Février en concert
> > > Breno BROWN
> > > Martha HIGH
> Sortie
de l'album Martha High,
Live at Quai du Blues
Janvier 2004
> > > Evénement
Sortie de la
Collection « Live at Quai du Blues »
en association
avec Viper /Austerlitz Music
Distribution EMI
les 9-10-16-17-23-24-30-31 Janvier en concert
> > > Holly MAXWELL
>
Sortie de l'album Holly Maxwell,
Live at Quai du Blues
les 9-10-16-17-23-24-30-31
Janvier en concert
> > > U.P. WILSON
12-13 & 19-20 Décembre 2003
5-6 Décembre 2003
14-15/22 28-29 Novembre 2003
7-8 Novembre 2003
16-17-18, 24-25, 31 Octobre & 1er Novembre 2003
26-27 Septembre, 3-4 & 10-11 Octobre 2003